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Défibrillateurs Schiller

Le défibrillateur cardiaque est un dispositif médical de classe II utilisé dans les centres hospitaliers, les services des urgences (SAMU), les ambulanciers et les sapeurs-pompiers pour la réanimation des personnes en arrêt cardiaque. Le principe du défibrillateur externe est de délivrer un choc électrique au niveau du coeur pour rétablir certains troubles du rythme cardiaque.

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L’origine des défibrillateurs

Les manières qui étaient utilisées dans le passé pour réanimer une personne victime d’un malaise cardiaque étaient archaïques. Le début d’un processus visant à la réanimation du cœur a été trouvé en 1788 par le chirurgien Charles Kite. En effet, ce dernier a publié un essai montrant comment l’électricité pouvait être utilisée pour réactiver un cœur.
Cependant, il n’avait pas trouvé le moyen idéal pour faire fonctionner un appareil ayant ces fonctionnalités. C’est ainsi qu’en 1803, un professeur en physique du nom de Giovanni Aldini, a utilisé le galvanisme. Il s’agit d’un procédé consistant à appliquer des chocs électriques sur le corps.
L’expérience a été réalisée sur des cadavres de criminels qui venaient d’être pendus, pour tenter de les réanimer. Plus tard, en 1849, Ludwig et Hoffa ont fait la découverte du trouble rythmique, qui a finalement été appelée fibrillation ventriculaire. Des expériences utilisant le choc électrique étaient réalisées sur des chiens et des chats.
Le terme fibrillation a été découvert en 1874 par le physiologiste et neurologue français Alfred Vulpian. D’autres tests ont été effectués jusqu’au moment où, dans les années 1940, deux compagnies d’électricité américaines ont décidé d’allouer un budget pour des recherches visant à réduire la mortalité de leurs employés victimes d’électrocution.
La technique a été perfectionnée au fil des années, jusqu’à ce que soit construit, en 1966 un système transportable qui pouvait être utilisé dans une ambulance. C’est à partir des années 1980 que les premiers défibrillateurs semi automatiques (DEA) ont commencé à voir le jour.

Le type de matériel utilisé pour la défibrillation

Pour réanimer une personne victime d’un arrêt cardiaque, il faut utiliser le défibrillateur. Il s’agit d’un appareil mobile qui fonctionne avec des batteries. Un défibrillateur doit normalement être constitué au moins d’un bloc qui peut assurer la délivrance du courant électrique en intensité.
Il est également constitué de deux électrodes qui permettent de transmettre l’influx électrique vers le patient. Pour pouvoir utiliser normalement l’appareil, il faut savoir se servir des commandes qui sont constituées d’un bouton marche-arrêt, du choix de l’énergie du choc, de la mise en charge des électrodes, de la commande de délivrance du choc, et l’établissement d’une synchronisation sur l’électrocardiographie du patient.
Les premiers types de défibrillateurs délivraient une énergie de type monophasique. Le contraire des défibrillateurs actuels qui délivrent une énergie biphasique, consistant en une inversion de polarité pendant la durée du choc. Les derniers modèles utilisent moins d’énergie pour la défibrillation.
Ce qui réduit les risques de brûlures sur la peau, ainsi que les incidents que ça peut avoir sur le cœur. Le défibrillateur automatique implantable est un stimulateur cardiaque qui est capable de détecter et d’administrer un choc électrique de manière automatique en cas de trouble du rythme ventriculaire grave.

Conditions de réussite d'une défibrillation

Pour une bonne réussite de la défibrillation, il faut que le choc électrique délivré par l’appareil soit bien calibré. Il faut également que le choc agisse au bon endroit pour pouvoir à nouveau synchroniser les contractions des fibres du myocarde. Ce qui aura pour effet de faire à nouveau battre le cœur normalement.
Il s’agit d’une opération qui doit être pratiquée en urgence avant que la victime ne soit atteinte d’asystolie. C’est une absence d’activité des ventricules du cœur. Cela peut conduire à une fibrillation qui est un mouvement anormal et inefficace des fibres musculaires, et qui annonce un arrêt total du cœur.  
La réanimation peut également se faire avec la bouche à bouche associé aux compressions thoraciques. C’est un moyen efficace pour faire circuler le sang oxygéné. Ainsi donc, le cerveau et le myocarde sont alimentés en oxygène. Le cœur est ainsi oxygéné et reste plus longtemps en fibrillation.

Le cas des enfants

Les enfants peuvent être victimes d’un arrêt cardiaque souvent causé par un manque de dioxygène qui est une substance gazeuse dans les conditions normales de température et de pression. Cet arrêt cardiaque peut être la cause d’une noyade, d’une intoxication, d’un étouffement etc.
Les enfants n’encourent pas de risque d’avoir un infarctus, car disposant d’un tissu cardiaque jeune et sain. Pour les réanimer, il est donc utile d’apporter du dioxygène aux cellules. La défibrillation est une manœuvre qui pourrait retarder la réanimation. Si par contre, l’enfant souffre d’une malformation cardiaque, ou s’il est victime d’un choc électrique, il faut tout d’abord effectuer un bouche-à-bouche.
Il faut au préalable demander un défibrillateur (DEA). Si la respiration n’a pas repris, il faut alors commencer la respiration cardio pulmonaire. Au bout de cinq cycles de 30 compressions et deux insufflations, il faut alerter les secours et revenir s’occuper de la victime jusqu’à leur arrivée ou l’arrivée du défibrillateur.